You wanna hot body, You better work bitch, Just be the champion ⊹ Feat l'équipe des Gryff

You wanna hot body, You better work bitch,
Just be the champion

Cuz we’re on fire, we are on fire, we’re on fire, now. ⊹ Temps idéal pour notre entrainement de quidditch, un soleil haut dans le ciel, une légère brise automnale rafraichissante, mais juste ce qu’il faut. C’est réellement notre premier entrainement depuis la rentrée, en tant qu’équipe au complet pour cette nouvelle année. Les sélections sont terminées, on va donc pouvoir enfin se mettre au boulot. Notre équipe n’a pas gagné depuis 2009, il faut qu’on se rattrape cette année et comme je suis capitaine, il faut que je motive mes troupes. Aujourd’hui, je vais les remettre en forme, ça sera intensif et pas vraiment de la pratique, mais au moins ils sauront que nous ne sommes pas là pour nous amuser. Il faut que je pose les règles dès le début, il n’est pas question que je me fasse bouffer, sous prétexte que je suis une femme ou je ne sais quoi d’autre encore.

Je sors de la réserve, tout est en ordre, enfin tout est comme d’habitude, il manque encore les battes de mes chers batteurs. Bon temps que les professeurs ne s’en rendent pas compte, ça va, mais il est hors de question que je récolte une énième punition à cause de ces deux-là. Je vais les avoir à l’œil. Je traverse le terrain pour me mettre en plein centre, sur l’herbe, bien en vue et j’offre mon visage au ciel. Le soleil me fait du bien et m’apaise un peu. N’allez pas croire que je stress pour un entrainement. Nooon, même si c’est la première fois que je mène la danse, j’ai assez réfléchi à ce que j’allais faire pour me sentir bien dans mes baskets, et s’ils ne sont pas contents, ça sera pareil. Mon problème est que depuis… Enfin, le truc avec Bart… Je n’ai fait que l’éviter. Je l’avais invité pour cet entrainement, et franchement j’aimerais être sûre qu’il ne s’en rappelle pas, mais il y a toujours ce petit doute. Surtout maintenant que j’ai avoué à London avoir couché avec lui, enfin, je n’ai pas dit son nom, j’ai pas spécifié, mais quand même. Je ne vais pas pouvoir gérer s’ils se retrouvent l’un en face de l’autre. Mais bon, il était bien bourré, donc je n’ai rien à craindre, non ?

De toute façon, je ne vais pas m’appesantir sur ça, mes joueurs commencent déjà à arriver. Je les entends avant de les voir. L’excitation semble être présente dans l’atmosphère et elle me contamine rapidement. Que je suis contente de recommencer une saison ! Ils font enfin leur entrée dans l’arène. Tim, Drew, Aly, Mae et London, ils sont tous là, je suis contente de les voir, de nous voir en tant qu’équipe. Je suis toujours plantée au milieu, ils viennent à moi, je les regarde un par un, enfin j’évite un peu le regard de London, ne sachant pas trop quoi y lire. « Ravie de vous avoir tous ! J’espère que vous n’êtes pas trop déçue de devoir me supporter en tant que capitaine ! Si vous avez une plainte c’est maintenant, ou c’est jamais ! » Je lance un énorme sourire à la ronde, les écoutant m’apostropher. « Bon, il va falloir se mettre au boulot, ce n’est pas le tout, mais on a une compétition à gagner et cette année la coupe est à nous ! » Je les regarde à nouveau, chacun à leur tour, passant toujours rapidement sur mon ex. Il va falloir que je règle ce problème, je ne peux pas continuer et le mettre à l’écart, c’est un de mes joueurs, c’est tout. « Aujourd’hui, vous n’aurez pas besoin de vos balais… Hey, mais c’est quoi ces mines ! Je veux qu’on fasse une session de remise en forme, on va faire des exercices pour gagner en physique. Je suis certaine que vous n’êtes pas nombreux à vous être entrainer pendant les vacances, donc aujourd’hui c’est comme ça. On commence par deux tours de terrains à petites foulées, suivis par deux autres plus rapides. Et effacez-moi ces sourires, si l’un de vous lâche avant la fin, c’est un tour de plus pour tout le monde ! »

Entraînement. Les choses sérieuses commençaient et, connaissant la capitaine, ils n’allaient pas rigoler. Maelan exagérait légèrement … quoique. Il connaissait personnellement la jeune fille en question. Elle n’était pas une tortionnaire mais elle voulait tellement bien faire qu’ils risquaient de prendre cher. Il ne se permettait pas de la chahuter sur son rôle et ses nouvelles responsabilités, sachant très bien le point auquel elle était stressée, ce n’était pas la peine d’en rajouter. D’accord, c’était un peu sa spécialité, en faire des tonnes, mais là c’était une amie alors ça n’aurait vraiment pas été sympa. Bon, il l’asticoterait peut-être un peu. Après. Quand elle aurait pris confiance et qu’elle les torturerait juste parce qu’elle avait le droit. Après ce premier entraînement, enfin, premier entraînement au complet. Il allait sans dire que London et lui s’entraînaient quotidiennement au maniement de la batte, plus ou moins légalement mais les résultats étaient là : ils étaient les meilleurs (bon, aux vues de leur classement au Quidditch on ne dirait peut-être pas, mais il ne faut hélas, pas que deux stars comme Batteurs pour gagner, malheureusement … Hum.) Et il courait tous les matins pour … non, il ne fallait pas déconner non plus. Ce qui faisait qu’il allait peut-être morfler rapidement.

La batte sur l’épaule et la truffe au vent, le Carmichael battait donc la pelouse en attendant Eden qui, décidément, voulait faire son entrée dignement. Les femmes … Il bavardait donc gentiment avec son acolyte en attendant qu’elle daigne se montrer … ce qu’elle fit. Et c’était parti pour un tour. Ravie de vous avoir tous ! J’espère que vous n’êtes pas trop déçue de devoir me supporter en tant que capitaine ! Si vous avez une plainte c’est maintenant, ou c’est jamais ! C’est un cauchemar ! confirma Maelan avec des airs de drama queen. Elle savait très bien ce qu’il en pensait donc il pouvait se permettre d’en plaisanter… right ? Bon, il va falloir se mettre au boulot, ce n’est pas le tout, mais on a une compétition à gagner et cette année la coupe est à nous ! Il fallait espérer, parce que cela commençait à faire un sacré bout de temps que les lions n’avaient pas ravi le titre de champions et c’était maintenant ou jamais. Ils étaient jeunes, beaux et talentueux (et modestes), cela ne durerait pas éternellement. Il lui adressa une grimace quand elle croisa son regard. Que les choses sérieuses commencent, assez de blabla ! Et il ne fut pas déçu …

Aujourd’hui, vous n’aurez pas besoin de vos balais… Hey, mais c’est quoi ces mines ! Je veux qu’on fasse une session de remise en forme, on va faire des exercices pour gagner en physique. En fait, si. Un murmure de protestation s’éleva, et il n’y fut pas étranger. Pardon ? Ils n’allaient pas monter sur leurs balais ? Mais whaaaaat ? Mais on a déjà des corps d’athlète, Eden … Pour illustrer son propos, il se débarrassa de son maillot pour exhiber ses superbes abdominaux … bon, d’accord, un peu moins bien dessinés qu’avant les vacances, mais quand même. Haussant les épaules, il déposa sa batte au sol avec son maillot et partit à petites foulées pour commencer les tours de terrain. Eh bien ! Il fallait espérer qu’elle change rapidement d’avis, il avait besoin de voler. Mais s’il fallait courir … En même temps, il faisait son malin mais il avait surtout fait des soirées alcoolisées et pas tellement de sport. Ca allait sans doute faire mal. Il souffla à London : Mec, on ferait mieux de s'entraîner seuls avec nos battes ... faire des figures, tot ça. Histoire de casser du Serpentard en match.

17/03/2010

▬ C’est teeeellement trop crueeeel ! Avait simplement gémit London en se trainant hors du dortoir, sa batte entre les mains se changeant lentement en pendentif pour qu’il puisse de nouveau se balader partout avec et éventuellement se défendre contre Eden si jamais il lui venait l’envie de les torturer à faire du sport. Connaissant la bestiole, elle en était complètement capable et l’Irlandais avait encore plus peur de ce qui l’attendait depuis qu’elle était devenue capitaine. Sans compter que leurs rapports avaient largement dépassé le stade de la simple complication et qu’il aurait préféré continuer à se conduire comme un parfait abruti sans se sentir légèrement jaloux partout, tout le temps. Mais bref, détail.
En dehors de cela, London prenait un certain plaisir à s’entrainer, bien que, comme le soulignait régulièrement son camarade et ami, ils étaient complètement les meilleurs batteurs du circuit (très fermé). Mais ça, évidemment, Eden n’était pas disposée à leur dire, probablement de crainte qu’ils prennent la grosse tête (ils auraient bien raison mais bon, hein…).
Les pieds enfoncés dans la pelouse du stade de Quidditch, l’Irlandais marmonnait dans sa non-barbe combien il était magnifique et merveilleux, échangeant avec Maelan des regards complices histoire de s’assurer qu’ils étaient bien d’accord sur leur fabulosité respective.
▬ Ravie de vous avoir tous ! J’espère que vous n’êtes pas trop déçue de devoir me supporter en tant que capitaine ! Si vous avez une plainte c’est maintenant, ou c’est jamais ! Et voilà, elle s’y croyait déjà trop. Le blond roula des yeux effarés, parfaitement ponctué par une réplique de Maelan.
▬ C’est un cauchemar !
▬ Un pur désastre tu veux dire… Renchérit-il avec un petit soupir. Evidemment, il n’en pensait pas un mot, pas vraiment. Elle était compétente (au moins autant qu’eux en tant que batteur mais ne revenons pas dessus, n’est-ce pas ?) et il lui faisait absolument confiance en ce qui concernait sa motivation pour les mener vers la victoire. Mais ça n’était pas une raison pour l’encenser avant même qu’elle n’ait commencé.
▬ Bon, il va falloir se mettre au boulot, ce n’est pas le tout, mais on a une compétition à gagner et cette année la coupe est à nous ! London médita un instant sur la chose, croisant furtivement le regard d’Eden pour y opposer un sourire niais mais la suite lui fit perdre toute envie de se marrer (du moins pendant au moins deux minutes).
▬ Aujourd’hui, vous n’aurez pas besoin de vos balais… Paaaaaardoooooonnnn ?!
London aimait voler. London aimait taper sur des trucs et était plutôt doué pour ça mais London ne voyait franchement pas l’intérêt de se faire des tours de terrain pour la beauté de la course. L’Irlandais écouta vaguement le reste des instructions et les menaces le firent doucement glousser tandis que Maelan exhibait son corps avec autant d’impatience qu’un curiste au Cap d’Agde (parce que oui, London avait fait un tour dans le plus bel endroit de France). Sans vraiment réfléchir, il embraya le pas de son camarade en trottinant joyeusement.
▬ Mec, on ferait mieux de s'entraîner seuls avec nos battes ... faire des figures, tout ça. Histoire de casser du Serpentard en match. London hocha lentement la tête, pointant du doigt le pendentif qui se balançait autour de son cou et la batte que Maelan avait posé sur le côté.
Ils n’avaient le droit de se servir de leurs balais pour l’instant, mais personne n’avait dit qu’ils ne pouvaient pas utiliser leurs battes…
Avec un sourire complice, London fit léviter la batte jusqu’à son ami alors qu’ils passaient tranquillement près d’elle, étouffant un gloussement idiot alors qu’il décrochait sa propre batte, lui rendant sa forme originelle.
▬ On peut commencer tout d’suite, t’sais… Ne manquait plus qu’un cognard… Peut-être qu’Eden accepterait d’en jouer le rôle…

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Cuz we’re on fire, we are on fire, we’re on fire, now. ⊹ Leur réaction ne se fait pas attendre, je savais avant même de leur annoncer que mon idée ne leur plairait pas. Déjà tout à l’heure ils étaient joueurs : « C’est un cauchemar ! » « Un pur désastre tu veux dire… ». Et blablabla, je ne suis pas une bête sanguinaire non plus, j’aime juste l’idée de les faire suer et ma récompense sera notre victoire à la fin de l’année, qu’ils se mettent bien ça dans le crâne ! Ils veulent voler, grand bien leur fasse, ils le feront quand je l’aurais décidé, ils verront qui commande ici. « Mais on a déjà des corps d’athlète, Eden… » Comme pour embellir son propos, il enlève son maillot pour exhiber ses muscles à toute personne qui aimerait baver devant lui. Astrid tu es où quand on a besoin de toi ? Enfin, fameux muscles si vous voulez mon avis, Maelan a toujours été bel homme, il le sait, il s’en sert, mais il est hors de question qu’il détruise mon idée en deux/deux. Je m’approche de lui et pose ma main sur son abdomen pour tâter un peu, je prends un air dubitatif, me mordant la lèvre comme en pleine réflexion : « Pas mal Maé, mais franchement, tu as déjà fait mieux. Il s’est passé quoi cet été ? Tu es resté cloué au lit ? Tout a fondu ! » J’enfonce mon doigt une dernière fois dans cette marrée de muscles avant de commencer à courir pour donner le rythme et la direction à suivre. Après tout, je ne vais pas me reposer sur mes lauriers, la séance vaut pour moi aussi, même si pour ma part, j’ai passé tout mon été à entrainement pour faire bonne impression à la rentrée : poste de capitaine oblige, je ne peux pas virer troll obèse avec un tutu rose à paillettes. ~~(for you Romy XD)~~

J’entends mes co-équipiers m’embrayer rapidement le pas, ils râlent pour la forme mais au moins ils respectent mes directives. Si on continue comme ça, notre séance va être productive ! Je commence avec une allure tranquille, histoire de ne pas perdre tout le monde dès le premier tour, on va y aller mollo, le tout c’est de retrouver une bonne condition physique pour entamer nos séances d’entrainement au meilleur de notre forme et d’acquérir des corps en béton pour les premiers matchs, on a du temps devant nous. «Tout le monde suit ? » Je me retourne et continue de courir en arrière. Je vois des regards de reproche sur certains visages, je suis sure que certains commencent à regretter d’avoir postulé ! D’autres semblent accepter sans avoir le choix et j’aperçois en bout de peloton mes deux batteurs préférés qui se font des messes basses. Ce n’est pas bon ! Je me glisse sur le côté « On reprend pour un second tour ! » et laisse passer chaque élève devant moi, me mêlant à chaque groupe, essayant de les motivés, mais n’oubliant pas mon objectif principal : surveiller les deux nigauds !

« On peut commencer tout d’suite, t’sais… » Je me coule entre eux deux au moment où j’entends cette phrase sortir de la gueule du labrador. Ce dernier a son air idiot des mauvaises idées et Maé celui du meilleur ami qui approuve et suit les plans foireux de Monsieur comique. « Vous comptez faire quoi avec ces battes tous les deux ? Je ne crois pas que ça puisse réellement vous aider à retrouver vos corps d’athlète dont tu parlais Maé ! » J’esquisse un énorme sourire, une idée fortement plaisante en tête. Mine de rien, j’étends mes bras devant moi comme si je m’étirais (ce qui est tout à fait normal quand tu te lances dans une course à pied c’est bien connu !) et avec une impulsion j’envoie chacune de mes mains dans le ventre de mes deux amis : « Qu’est-ce que je disais les mecs ! TOUT MOU ! » Je ne reste pas une seconde de plus entre eux, les représailles vont forcément tomber, mais si ça les fait courir un peu plus, j’aurais déjà gagné une bataille. « Et ces battes restent avec moi ce soir mes chéris ! Je ne vais pas écoper d'une nouvelle punition pour matériel manquant ! »

Cet entraînement ne s’annonçait décidément pas si bien que cela et il en était frustré par avance. Il avait vraiment besoin de voler, cela faisait bien trop longtemps, d’échanger des Cognards avec son complice. Et à la place de ça, madame Lancaster leur piquait sa crise et décrétait qu’ils n’étaient pas assez musclés, ce qu’il s’empressait de nier farouchement, preuves à l’appui. Sa moue n’avait pas l’air très convaincue et il s’apprêtait à en remettre une couche quand elle s’approcha et que … quoi ??? Pas mal Maé, mais franchement, tu as déjà fait mieux. Il s’est passé quoi cet été ? Tu es resté cloué au lit ? Tout a fondu ! Hey, mais comment ça tu touches mon corps d’athlète ?! Ca y est, ça commence les abus de pouvoir ? AU VIOL ! hurla Maelan en se déroba aux mains baladeuses d’Eden. Il en rajoutait, comme toujours, mais ne comptait pas la laisser s’en tirer comme ça, tout d’abord parce qu’elle les empêchait de voler et que ça, c’était un crime et ensuite parce qu’on ne touchait pas son corps en tout impunité. D’accord, apparemment cela faisait envie à beaucoup de monde mais ce n’était pas une raison ! Il recula donc se placer aux côtés de London en boudant, et en maugréant qu’elle n’avait pourtant pas boudé son plaisir et qu’elle en avait bien profité pour le peloter alors qu’il ne devait pas s’être tant ramolli que ça.

Continuant à bouder et à marmonner, il ne put cependant s’empêcher de retrouver le sourire quand London lui proposa de passer aux choses sérieuses (non, ils n’allaient pas conclure sur la pelouse du Terrain de Quidditch, bande de pervers). On peut commencer tout d’suite, t’sais… Et en un instant, sa batte chérie se retrouva devant lui. Il n’eut qu’à tendre la main pour sentir le contact rassurant de la poignée de celle-ci. C’est ça qui est bon, ronronna-t-il quasiment. Mais le répit fut de courte durée alors que la trouble-fête du jour s’interposait entre eux deux. Elle devait être follement jalouse de leur superbe bromance.Vous comptez faire quoi avec ces battes tous les deux ? Je ne crois pas que ça puisse réellement vous aider à retrouver vos corps d’athlète dont tu parlais Maé ! On aurait à les retrouver si on les avait perdus, tu as prouvé en ne pouvant t’empêcher de mettre tes mains sur mon corps d’athlète que je n’avais rien à retrouver. Mais il se prit la main d’Eden en plein ventre et ne put s’empêcher de hurler : ET ELLE RÉCIDIVE EN PLUS ! C’EST DU HARCÈLEMENT SEXUEL, JE VAIS ME PLAINDRE AUX DIRECTEURS ! Non mais, est-ce qu’il se permettait de lui mettre la main au cul pour lui dire qu’elle ferait mieux de travailler ses fessiers et de leur lâcher la grappe ? Non, parce que c’était un gentleman et qu’il était très professionnel quand on en venait au Quidditch. Et ces battes restent avec moi ce soir mes chéris ! Je ne vais pas écoper d'une nouvelle punition pour matériel manquant ! Dans tes rêves, sans doute, lâcha Maelan avant de faire un clin d’oeil à London. D’un mouvement habile du bras, il donna un coup de batte au popotin d’Eden. Sans le moindre effort, il accéléra et la doubla en rugissant : Nous sommes juste des victimes de ta propre quête du corps de rêve, mais certains sont nés avec ! Et si London était aussi bon qu’il le pensait (ce qui allait sans dire), ils allaient bientôt hautement s’amuser.