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Vis ou meurs, si je pleure c'est dans tes bras, si je sais pas apprend moi, si je vis c'est pour toi."Lazulie, c'était un petit rayon de soleil. Déjà toute petite elle souriait constamment. C'était une petite très affectueuse et très bienveillante. Je me souviendrais toujours des Mercredi matin où elle se levait pour venir cueillir des pommes dans mon verger. Elle était resplendissante. Je ne l'ai connu qu'à ses 6 ans étant donné que c'est l"âge où elle et sa famille ont emménagés à côtés de chez moi. Elle semblait si mature, si responsable pour son âge." -La voisine des WaldorfEn effet. Lazulie Alexanne Waldorf débordait de vie. Constamment en mouvement elle ne supportait de rester tranquille et calmement installé devant les dessins animés. Elle préférait aller regarder son père réparer les meubles de la maison à coup de baguette magique. Son père était un sorcier, pro Sang-pur. Ce qui a toujours laissé sur le cul la belle-famille Waldorf, ce fut que Axelle soit une Moldu. Mais son père avait toujours prôné l'amour sur la raison et c'est donc installé dans une magnifique petite maison dans le campagne profonde londonienne avec sa chère épouse et bientôt leur petite merveille de fille. Mais tout ca aurait était trop beau si il n'y avait pas eu ce petit, minuscule, insignifiant, problème. Parce que dans toute histoire il y a des problèmes.
Axelle Waldorf, aussi mère de Lazulie, était malheureusement atteinte de Mucoviscidose. Cette maladie Moldu si peu connu.
"Lazulie ? Pauvre petite...je ne sais pas si je la plains parce que ma fille est morte lorsqu'elle était toute petite ou si c'est parce qu'elles étaient seules à la maison lorsque ca c'est passé..." -
Grand Mère maternelleUn bruit de verre qui se casse puis plus rien. Lazulie était tranquillement entrain de lire un livre dans sa chambre. 7 ans. Tout était calme dans la demeure des Waldorf. Maximilius Waldorf, maitre de maison, était partie travaillé sur le chemin de traverse et Axelle, elle, était restée chez eux pour mettre un peu d'ordre dans ses affaires. Elle savait la fin proche, mais pas comme ca. Pas seule dans sa cuisine alors que la petite lit à l'étage. Le bruit du saladier en mile morceau extirpa Lazulie de sa lecture et la petite fille descendit du rebord de la fenêtre.
"Maman ? Ca va ?". Rien. Elle sortie de sa chambre.
"Maman ?!. Elle frôle le bois de l'escalier du bout des pieds tandis qu'elle s'extirpe du deuxième étage. Son petit visage enfantin passe dans l'encadrement de la cuisine
"Mam...".
On retrouva la petite fille, allongée contre sa maman, enveloppé par les bras morts de la maternelle qui avait lâchée son dernier soupir en même temps que la saladier. 7 an. C'est cher payé pour vivre...
Mélancolique, c'est ce que le visage de la petite Waldorf devint. Elle venait de perdre le pilier de son existence. C'était comme si elle manquait d'air, elle ne pouvait plus retomber nul part. Lazulie avait l'impression de marcher constamment sur un fil de pêche a dix mille mètre au-dessus des enfers. Les poumons encombrés de sang séché et de douleur. Le deuil fut long, dur, meurtrier. La maladie avait tué le sourire et la joie en Lazulie Waldorf.
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Et perdu à jamais l'innocence, toi tu crève sous le poids du silence. Quand il te donne au Masculin, tout son amour à coup de poing