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 Indigestion ! [London]

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Message(ϟϟ) Sujet: Indigestion ! [London] Indigestion ! [London] EmptySam 5 Nov - 15:23

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Invité

L’après-midi, suprême repos digestatoire suivant de près l’ingestion de toutes sortes de substances plus ou moins agréables et délicates pour le globe oculaire et le palais, que la rousse Astrid avait pourtant fort affiné après de longues années d’un rude entraînement à subir la nourriture maternelle, avait enfin pointé le bout de son nez bien trop long. Avec lui, il avait amené, probablement de force et sous la contrainte de menaces impliquant d’exercer des tortures physiques et mentales dont la conséquence serait de graves séquelles, la pluie, qui tambourinait désormais comme une acharnée mourant de faim sur les tuiles recouvrant les toits de Poudlard. En conséquence de quoi la jeune fille avait accepté, bien que pressentant un résultat plus que décevant, de servir de cobaye au membre de sa nombreuse, envahissante et bruyante famille qu’était London Antwerp. Ignorant résolument les sirènes de Cassandre qui claironnaient dans sa petite mais néanmoins remplie tête rouge qu’il s’agissait là d’une expérience déraisonnée, elle s’était rendue à pas comme à son habitude rapides dans la tour que partageaient les Gryffondor et les Serdaigle depuis l’effondrement du dortoir de ces derniers.

« Pousse tes grosses fesses, l’inventeur fou, » annonça sans ménagement aucun Astrid en plantant fermement dans le sol ses deux pieds chaussés de ballerines noires assorties au reste de son uniforme, alors qu’elle se tenait avec une précision presque mathématique juste devant le canapé quelque peu défraichi, sur lequel même l’odeur de fumée semblait incrustée, qui avait vu son cousin s’avachir lamentablement sans grâce aucune. London pouvait avoir son charme bien à lui, c’était indéniable, mais il semblait le plus souvent omettre mentalement qu’il avait cette possibilité, de l’avis fort peu objectif d’Astrid, qui éprouvait une joie certaine et enfantine à l’idée fort puérile d’embêter le susdit London comme si elle avait totalement recouvré l’âge des six ans et pas seulement mentalement. Parce qu’au cas où vous vous poseriez hypothétiquement cette question qui ne pouvait être que rhétorique, le jeune homme ne possédait aucunement un postérieur imposant, bien au contraire, car il prenait garde à son régime alimentaire, mangeant cinq fruits et légumes par jour et faisant de l’exercice, hahaha, putain qu’elle est longue cette phrase, continuons-la encore un peu, ça y est, c’est fini.

Elle se posa à son tour, se laissant tomber en prenant garde à ne pas avoir l’air d’une pomme de terre lancée à pleine vitesse sur un mur de crashtest, sur le sofa, ne prenant absolument pas garde à celui qui se trouvait dessous et qui ne semblait pas décidé à activer le mouvement – après tout, il n’avait qu’à bouger plus vite, sa vitesse actuelle s’approchant plus de la tortue que du lièvre, alors même qu’ils ne faisaient pas la course et n’avaient de toute façon jamais lu les œuvres incontestablement réussies du prolifique Jean de la Fontaine. Alors qu’elle était d’une politesse plus qu’exemplaire avec tous les autres habitants du château magique, quand bien même elle ne pouvait pas les supporter ce qui arrivait fort heureusement très rarement, Astrid avait une fâcheuse tendance à laisser le côté « loi du plus fort » en vigueur dans la jungle, la vraie que Tarzan habite avec Jane et son papa, et la fausse mais qui s’en approchait bien quand même (et d’ailleurs les ethnologues envisageaient très sérieusement de rédiger des traités encyclopédiques sur la question) qu’était la maison, d’inspiration victorienne, Ludwill ressortir quand elle se trouvait avec London. Laissant son sac de cours, une grande besace composée de solide tissu qu’elle avait malgré tout du raccommoder à plusieurs reprises, tomber à leurs pieds, Astrid s’installa confortablement en s’enfonçant plus profondément au creux du fauteuil, sentant ses ressorts lui chatouiller le creux des reins. Autant profiter du temps qu’il lui restait avant de prendre douze kilos, se transformer en myrtille géante d’un beau bleu que même Roal Dahl ne pourrait avoir rêvé d’une chose pareille, et avoir les cheveux verts.

« C’est quoi l’objectif des tests d’aujourd’hui ? » questionna-t-elle en baillant, ne laissant personne apercevoir ses amygdales rosâtres puisqu’elle posa tranquillement la paume de sa main, quoi que tâchée d’encre suite aux épreuves du matin, devant l’orifice buccal ouvert. « J’espère que t’as au moins vérifié que ça risquait pas de m’empoisonner, pour changer. Je n’éprouve aucunement l’envie de retourner à l’infirmerie. »
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Message(ϟϟ) Sujet: Re: Indigestion ! [London] Indigestion ! [London] EmptyVen 25 Nov - 18:41

UFR1 Double Cursus

London M. Antwerp
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17/03/2010 795 ϟ © : Little Suzy

London M. Antwerp

Carte d'identité
ϟ Autres appartenances: Sympathisant AFW et FFA
ϟ Fonctions/options: Batteur titulaire. Sortilèges avancés, Relations internationales magiques, Métamorphose avancée
ϟ Réputation: Est connu pour vendre des objets magiques modifiés dans tout Poudlard

London était plus ou moins un génie dans son genre. Non pas une volatile créature faite de gaz, de chair et d’un bleu électrique criard sortant d’une fantastique lampe magique au moindre frottement trop insistant… Non. Un vrai génie, façon Einstein sans l’Asperger. Et humble, avec ça.
En réalité, London était plus fou que génie, si l’on en croyait les dires de ses malheureux et infortunés camarades. Il était plus homme à se tuer le cerveau pour inventer toutes sortes de trucs potentiellement inutiles mais drôles qu’à se préoccuper naturellement de l’avancée technologique dans un âge où plus grand-chose ne lui semblait à découvrir. Il n’avait néanmoins pas abandonné la noble et respectable idée de servir le Monde Magique par les cellules d’un cerveau toujours en constante ébullition. L’Irlandais ne se qualifiait pas plus de visionnaire, puisque généralement, il ne faisait guère avancer le monde par ses prouesses magiques. Et finalement, tout le monde s’accordait à dire que London n’était ni génie, ni fou, ni même visionnaire, juste con.
Et c’était parce qu’il fallait bien mériter ce titre que le blond baladait sa longue silhouette élancée dans les couloirs encombrés de Poudlard, sourire stupide fleurissant sur ses lèvres fines, battant de sa baguette une mesure qui ne semblait audible que par lui sur la tête de ses camarades. La matinée avait été rude pour le jeune Gryffondor qui avait dû exprimer la totalité de son ingéniosité pour éviter de se faire prendre alors qu’il sabotait le chaudron d’un estimé camarade mais néanmoins victime occasionnelle, durant le cours de potions. N’allez pas vous méprendre, la méchanceté ou la fourberie de London n’était jamais gratuite et non, il ne la faisait pas payer en monnaie sonnante et trébuchante. Mais l’Irlandais avait toujours un plan avant, un objectif plus noble que celui de se payer la tête de ses compatriotes sans se soucier des conséquences. L’ennui, se situait plutôt dans l’après-plan, puisqu’il était généralement inexistant. Une fois l’explosion du chaudron passée, le constat que ça ne fonctionnait visiblement pas et qu’il n’y avait pas encore de solution, London n’avait pas de Plan B. Alors il se contentait de partir en courant pour accuser un quidam de ses actes, qualifiés de méfaits pour certains, et d’expériences innovantes pour l’intéressé.
Les pieds de l’Irlandais, à moins que ce ne soit son estomac et ses grondements sourds qu’il laissait entendre à chaque détours de couloirs trop fréquentés, l’avaient mené jusqu’à la Grande Salle et les mets délicieux, quoique parfois inconnus au bataillons, qu’elle abritait à l’occasion du déjeuner. Arrêtons-nous un instant sur cette période de la journée que les étudiants avaient parfois tendance à négliger, au profit des révisions, de l’entraînement de Quidditch ou d’une partie d’échec dans les placards à balais (Quoi ? Vous n’avez jamais vu de gens jouer aux échecs dans un cagibi ? Accordons que parfois, ils font aussi un scrabble.). Enfin, quoi qu’il en soit, London n’était assurément pas de ceux qui sautaient un repas. Même en cas de poussée importante d’inspiration, il s’arrangeait toujours pour se préparer un sandwich thon-mayonnaise-crudités-mais-sans-les-tomates-parce-que-ça-coule.
Assis à la table des Serdaigle, bien que conscient de faire un peu tâche rouge dans l’océan, le blond s’empiffrait joyeusement. De toute façon, ses camarades aigles étaient toujours bien trop occupés à étudier pour penser à se nourrir de substances solides. Il fallait bien que quelqu’un le fasse à leur place et London, magnanime, s’était donc dévoué pour cette périlleuse tâche.

Une fois totalement repu, il prit la direction de la tour des gryffons, désormais havre de paix (Ou de guerre, selon les versions) pour ses camarade bleus et argents et accessoirement sa cousine Astrid, du coup. C’est avec la grâce infinie d’un hippopotame atteint de Parkinson précoce que l’adolescent s’était posé sur le sofa, expropriant sans vergogne ses anciens occupants. Il avait joué un temps avec sa baguette jusqu’à ce que…
▬ Pousse tes grosses fesses, l’inventeur fou.
Observant sa cousine d’un œil critique, songeant que son nœud de cravate était mal fait et qu’elle allait bientôt devoir couper ses pointes, London grogna comme un vieil ours. De une, ses fesses n’étaient pas grosses, il avait parfaitement la ligne. De deux, il n’était pas fou, il était génial. Ce qui au fond se rejoignait peut-être un peu. Et il fallait peut-être être tout aussi fou pour avoir envie de travailler avec cette hyperactive qui lui servait de branche familiale. Sans ajouter un mot, il ne se poussa pas d’un centimètre, puisque de toute façon, Astrid et son gros postérieur feraient bien leur place tout seuls. Et la Serdaigle ne tarda pas à confirmer ses pensées en s’affalant sur lui, tout aussi gracieusement que l’Irlandais quelques minutes plus tôt, expulsant par la même occasion le peu d’air qu’il lui restait dans les poumons.
▬ C’est quoi l’objectif des tests d’aujourd’hui ? J’espère que t’as au moins vérifié que ça risquait pas de m’empoisonner, pour changer. Je n’éprouve aucunement l’envie de retourner à l’infirmerie. Lui lança-t-elle en baillant avec un charme digne d’Audrey Hepburn tandis qu’il chaussait une paire de lunettes en écailles.
▬ T’inquiète. On va laisser de côté les tests culinaires pour l’instant. Je te présente les toutes dernières lunettes à verre à rayon X. Annonça le blond avec fierté, pointant les lunettes enfilées précédemment. Parce que bien sûr, sa vue était bien entendu parfaite sur l’échelle de Richter (Ou n’importe quelle échelle à prendre au hasard, l’important était de savoir que son acuité visuelle était de 100%).
▬ Bon bien sûr, j’ai encore du boulot à faire sur le design, parce que là on ressemble plus à ta grand-mère qu’à Superman. Mais bon. Tiens, t’as mis un string aujourd’hui ? … Non ? Roh, ça va, je déconne. En fait, ça sert juste à lire l’encre invisible, pour les pompes. Mais bon, j’pense qu’on va en faire des lentilles. Tiens, mange-ça en attendant, fait le tour du canapé à cloche-pied et dis-moi si tu sens du changement. Et après on ira tester la baguette à sorts inversés, le slip d’invisibilité ou le soutien-gorge anti-cognards pour joueurs de Quidditch. L’ennui des deux derniers c’est que si ça marche, c’est cool mais t’as l’air d’un con. Et que si ça marche pas, t’as vraiment l’air d’un con.
Tout en badinant, le Gryffondor tendit une pastille violette à sa cousine, espérant fortement que les symptômes soient satisfaisants. Certes, elle serait malade, mais c’était un peu le but.


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